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 Un air de déjà-vu. (Osman)

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❈ ARRIVEE :
09/11/2016
❈ AVATAR :
Adelaide Kane.
❈ CREDITS :
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❈ AGE :
Vingt-neuf ans. Vingt-neuf flocons de glace qui ont coulés sur le sang de son nom.
❈ ALLEGEANCE :
Son coeur est tiraillé entre sa raison, sa justice et sa famille. Celle qui l'a élevé, ou celle qu'on lui a retiré.
❈ LOCALISATION :
Partout, devant, derrière, sur la mer ou dans les terres.
Elëna De Beaumont
Elëna De Beaumont
Mage de l'eau
MessageSujet: Un air de déjà-vu. (Osman)   Un air de déjà-vu. (Osman) EmptyDim 19 Nov - 18:09

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UN AIR DE DEJA VU..
ELENA + OSMAN
⋆ ☽ ⋆ ◯ ⋆ ☾ ⋆
Le bruit et l’effervescence. Elëna n’avait jamais été habituée à flâner dans les ruelles de Rigwë. Il était d’ailleurs rare de la voir en dehors du château d’Ivandïr. Cette vieille habitude ne l’avait pas quitté depuis son arrivée à Endor. Elle ne savait pas se mêler aux autres, elle ne savait jamais quoi dire ou que faire. Sa sœur, Anastasia était bien plus douée dans cet exercice et c’était sûrement pour cela qu’elle s’occupait mieux du peuple qu’Elëna. La gardienne de la justice était douée pour reconnaitre le mensonge, l’inquiétude, les sentiments complexes des hommes. Elle ne savait pas donner, aimer, sourire et rire. Et pourtant en cette fin de soirée, elle avait pris le chemin du marché d’Endor là où s’entremêlaient marchands, apothicaires et autres charlatans qui tentaient de vendre n’importe quoi à Elëna. Elle savait que personnes ne la connaissaient vraiment. Si les yeux se posaient à coté d’elle c’était surtout à cause des deux soldats qui l’accompagnaient. Les soldats ne se promenaient pas souvent si bien armés. La démonstration de force n’était pas la stratégie politique d’Endor. Elëna espérait toujours qu’une solution pacifique puisse exister, et elle comptait bien nouer le dialogue une bonne fois pour toutes avec Cour d’Argent dont la politique lui paraissait de plus en plus critique. Elle ne pouvait tolérer l’acharnement sur les mages. Trop souvent à Ivandïr elle avait entendu parler de cette éradication de mage. Le roi avait toujours été fermement opposé mais elle savait qu’au sein des nobles, le sujet amenait souvent à converser. Trop souvent. Elëna tenta d’éloigner ses mauvaises pensées. A Endor, les de Beaumont étaient tous d’accord. Ils offraient un toit et une sureté pour ses exilés. Elle en était particulièrement fière.

Son œil fut attiré par des villageois qui semblaient quitter un petit étalage. Intriguée, elle s’en approcha un peu plus se frayant un chemin dans la vague de panique qui avait gagné les habitants. Les deux soldats la suivaient de très près. Elle crût même entendre qu’on lui proposait de rentrer au château. Elle n’en fit rien et continua son chemin. Plus elle s’approchait et plus la panique se propageait. Elle se retrouva finalement juste devant l’étalage de fruits et de légumes et un homme tomba au sol juste devant elle. Elle n’en crût d’ailleurs pas ses yeux. Ce visage ne lui était pas étranger. Elle le connaissait d’un lointain souvenir. Elle fit signe aux gardes de l’attraper. Justice serait enfin faite, elle qui avait été trop naïve lors de leur première rencontre.

Les traits de visage étaient un peu plus différents. Tous les deux avaient vieillis mais Elëna n’oubliait pas un visage. Surtout pas celui d’un traître, qui l’avait fait prise otage lorsqu’elle avait tenté de le sauver une première fois. Une seule rencontre, qui l’avait marqué. Ne jamais faire confiance à personne.

« Et c’est ainsi que nous nous retrouvons. Puis-je récupérer mon étole ? Suis-je bête, vous avez sûrement dû la revendre pour essayer de récupérer un peu d’argent. elle marqua un silence. Encore et toujours plus d’argent n’est ce pas ? Emmenez-le. »

Elle arqua un sourcil avant de se retourner vers le château d’Endor, où elle pourrait juger le jeune voleur pour les différents crimes dont elle avait été témoin.  
.

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Osman Jiddayd
Osman Jiddayd
Mage de sable
MessageSujet: Re: Un air de déjà-vu. (Osman)   Un air de déjà-vu. (Osman) EmptyDim 19 Nov - 21:03

Cette affaire ne le concernait pas. Absolument pas. Osman avait eut besoin de revendre quelques babioles qu'il avait volé ici et là. Un honnête recèle sans grande conséquence et que les marchands ne semblèrent pas remarquer. Osman s'occupait souvent de se faire un peu d'argent de poche par des moyens peu licites. Son voyage à Endor lui avait coûté cher et à présent, il avait besoin de se refaire une renommée avant qu'on ne lui propose de nouveaux contrats. Son arrivée était dure. Payer la chambre de l'auberge. Se nourrir. L'entretien de ses armes. Racheter des bottes car les siennes avaient été usées par le voyage. De nouveaux vêtements car le climat le laissait frigorifié. Beaucoup de frais en si peu de temps. Ca avait ruiné toutes les maigres économies qu'il s'était faite avant son départ et inexorablement, le vol était devenu sa source financière la plus sûre, pour le moment.

Des mots durs s'étaient échangés sans que Osman ne redresse les yeux. En vérité, il avait entendu parler d'une histoire de dette. Un homme en colère et le marchand de fruits, accablé par les accusations brutales de quatre hommes. Osman n'avait pas eu l'intention d'intervenir. En vérité, ce genre de brouille était monnaie courante à Ur et Osman était parfaitement serein. Les passants furetaient d'un œil curieux puis s'enfuyaient en comprenant la gravité de la situation.

Puis il y eut un cri. Les passants s'écartèrent. L'un des quatre hommes avaient sorti un petit et ridicule couteau à fromage et l'avait plaqué contre la gorge du marchand. Osman redressa les yeux. Regarda autour. Ne te fais pas remarquer. Ne te fais pas remarquer. Ne te fait pas rem...

Osman poussa violemment l'agresseur qui retomba sur l'un de ses comparses. Le temps qu'ils se relèvent, les deux autres avaient déjà sorti des armes un peu plus menaçantes. Osman se maudissait. Le marchand s'était déjà enfui, sans doute très justement convaincu que Osman n'avait aucune chance contre quatre paysans armés de couteau à beurre. Il soupira et jugea rapidement que ces pouilleux n'avaient pas reçu d'entrainement et ne s'attaquaient à lui qu'avec leur hargne et leur visage de molosse. Le mercenaire décida de garder son arme dans son fourreau. La panique s'était déjà assez bien rependue comme ça. Un peu las, il évita avec maestria les attaques et plus il se montrait agile et félin et plus ses agresseurs s'énervaient. Osman tentait des mots doux. Des tentatives un peu grotesque de ramener ces hommes à la raison. L'un d'eux réussi à lui entailler l'épaule. Osman se laissa surprendre. Le second ne lui laissa pas plus de temps et lui colla son poing dans le visage. Osman se défendait mais il savait ses coups mortels et les meurtres en plein jour et au milieu du marché, ce n'était pas tant sa tasse de thé. Osman balada ses adversaires avant que ces derniers ne réussissent à le choper. A deux, ils lui tinrent les bras, le torse. Le troisième frappa un grand coup dans sa mâchoire. Osman perdit patience. Se libéra de ses entraves et songea qu'il pourrait bien faire un exemple. Cependant, il en oublia le quatrième qui lui décocha une énorme patate de forain qui alla le faire valdinguer de l'autre côté du ring humain.

Osman tomba brusquement sur le dos. Le coup l'avait momentanément sonné. Il ne reconnu, au-dessus de lui, que le visage noble d'une dame d'Endor. Il secoua la tête pour reprendre ses esprits. Il n'eut guère le temps de la reconnaître. Deux bras, bien plus assurés et plus forts que ceux de ses adversaires précédant le tinrent fermement pour le relever. Osman savait, cette fois, que même une jolie pirouette ne lui permettrait pas de s'en dégager si facilement : Des soldats.

Le calme se rependit dans la foule et les quatre hommes disparurent dans la cohue. Sans doute, la présence des soldats et d'une dame laissait entendre que les justices de rue n'étaient guère d'actualité. Osman remarqua qu'à Endor, la présence des gardes installait une certaine discipline parmi les rangs. En se faisant redresser sans le moindre ménagement, Osman voulu se dépêtrer en vain.

Quoi ? Il ne comprenait pas ce que cette femme lui racontait. Etait-il possible qu'il l'avait volé ? Comment ? Il n'était jamais allé à Endor. Mais de quoi est-ce que... Woh woh ! On l'emmenait sans plus de procès ni d'explication.

Osman tira violemment sur ses bras. Tenta de se défaire de ses geôliers. Il sautait, criait et s'insurgeait. Ca lui apprendra à vouloir jouer les justiciers.

Attendez, attendez ! Il tenta de rattraper la dame dont le visage lui était vaguement familier malgré l'étreinte des soldats. Vous devez vous tromper ! Je ne suis à Endor que depuis quelques jours ! Et je n'ai...

Osman voulu affirmer qu'il ne s'était d'ailleurs jamais rendu coupable d'aucun crime mais même pour lui, c'était un peu gros. Il aurait été incapable de l'affirmer sans éclater de rire tant le mensonge aurait été grostesque. D'un geste brusque mais néanmoins inutile, il tenta de se défaire des soldats encore une fois, fou de colère.

Mais nom des dieux, lâchez-moi !
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Elëna De Beaumont
Elëna De Beaumont
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MessageSujet: Re: Un air de déjà-vu. (Osman)   Un air de déjà-vu. (Osman) EmptyMer 22 Nov - 20:43

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UN AIR DE DEJA VU..
ELENA + OSMAN
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Elëna avait rarement vu une scène pareille depuis qu’Endor avait ouvert ses portes. D’ailleurs elle ne les tolérait pas. Elle n’était pas d’accord pour que la violence commence à s’installer à Endor et ça n’allait pas être ce garçon des terres du sud qui allait venir semer la discorde à Endor. Elle remontait déjà la grande ruelle pour rejoindre le château et enfermé l’homme dans les cachots. C’était certain qu’il ne pouvait pas faire le poids contre les soldats d’Endor. L’entrainement que leur faisait faire Këvon était drastique, parfois dangereux. Elëna avait beaucoup de mal avec ses manières, mais elle se taisait face à l’autorité de son frère.

Il était parfois insupportable de l’entendre crier, tenter de se défaire et gesticuler encore et toujours plus fort et encore plus fort. Elle soupirait, tentait de se concentrer sur le procès qu’elle lui imposer. Plus jeune et malgré sa carapace, elle s’était retrouvée affolée lorsqu’elle avait tentée de le sauver et que finalement, il l’avait amené dans ses bras et jusqu’à ce qu’on lui redonne son butin. Elle sentait la colère remonté en son cœur. Elle préférait se taire.

Plus il gesticulait, plus elle avait envie de hurler, de lui dire qu’il devait se taire. Elle se stoppa d’un coup, sentant que ses maux de tête refaisaient surface. Les gardes s’arrêtèrent immédiatement sans pour autant lâcher le voleur.

« Il suffit »
. Elle se massa les tempes en soupirant. Croisant ses mains, elle attendit qu’il arrête de bouger dans tous les sens pour reprendre la parole. « Laissez donc les dieux où ils sont et reprenons depuis le début. » Elle fit un signe aux soldats de reprendre le chemin et elle reprit sa marche. « Nous ne nous sommes pas rencontrés à Endor. Notre rencontre remonte plus loin. A Ur. Pendant que vous vouliez des marchands. Comme vous le faites encore aujourd’hui, la différence est… »

Elle se stoppa une dernière fois et se tourna pour croiser le regard du voleur. « Aujourd’hui vous êtes sur mes terres. Je ne vous laisserais pas voler et piller des villageois et autres commerçants d’Endor ! Je refuse que cela se passe comme à Ur. » Elle serra ses poings et repris sa marche. « Vous serez donc juger au château. Ne vous en faîtes pas, je ferais passer cette affaire en priorité. »  Elle refusait de s’arrêter en si bon chemin et repris simplement sa route vers le château. Ils n’étaient plus très loin maintenant. Les portes du château étaient maintenant en vue et elle avait hâte de terminer avec cette affaire. Définitivement.

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Osman Jiddayd
Osman Jiddayd
Mage de sable
MessageSujet: Re: Un air de déjà-vu. (Osman)   Un air de déjà-vu. (Osman) EmptyJeu 23 Nov - 0:00

Osman s'arrêta brusquement, dans ce même élan qu'eurent les soldats. Le mercenaire se laissa intimider par son autorité. La dame avait le regard de ceux qui sont à deux doigts de vous mettre une torgnole et Osman n'avait pas tant envie de recevoir une gifle humiliante en public alors que ses deux bras étaient bougrement occupés par ses camarades de la garde royale. Il reprit la marche bien en dépit de ses intentions qui le laissèrent figé une seconde sur place. Il fallut que l'un des deux soldats ne le tire en avant pour le sortir de son immobilité.

Osman eut les premiers souvenirs vagues. D'une fois où il faillit se faire coincer. Il s'agissait de soldats qui l'avaient attrapé alors que Osman et ses compagnons de foire s'étaient attaqués à un convoi marchand. L'histoire d'une intimidation, rien de plus, qu'ils disaient. Ces marchands-ci n'avaient pas réputation de jouer les héros et on parlait d'un petit coup sans accroc ni effusion de sang. Osman adorait ce genre de plan. Mais voilà : Sa chance légendaire l'avait rattrapé, une fois de plus. Si ses compagnons ne l'avaient pas abandonnés à cette rencontre avec une diligence blindée de soldats, sans doute auraient-ils gagnés le combat et le jackpot. Une grande dame parée de bijoux de luxe. Un carrosse orné de dorures et des soldats armés d'épées affûtées et travaillées minutieusement. Le butin leur aurait permis de vivre pour dix ans ! Mais Osman s'était retrouvé bien seul.

Il peinait à la connaitre ! Elle savait de quoi elle parlait et le mercenaire eut grand mal à croire que son karma lui fasse payer un acte de survie qui s'était passé il y a des années sur Ur. Lui qui était venu chercher rédemption et tourner le dos à son ancienne vie, il était bien tombé ! Poissard qu'il était, Osman ne s'en étonnait même plus et, blasé et las de ces mésaventures qui le suivaient jusqu'aux confins du monde, il laissa les gardes porter tout son poids mort. La bouche bée et le regard mort. Quelque part, la-haut ou ici-bas, quelqu'un lui voulait du mal... Fallait-il que cette dame - cette REINE ! - ne tombe sur lui qu'au moment où il s'était décidé à faire quelque chose de bien ! D'honnête ! Sauver un pauvre marchand de la ruine ! Osman se réveilla brusquement, songeant que ce quiproquo pourrait peut-être lui sauver la vie.

Non non ! Attendez ! Je ne volais pas ce marchand ! J'ai... Il tira encore sur ses bras pour tenter de rejoindre la Reine, toujours dans l'étreinte de ces crétins de soldats. Il claqua rageusement de la langue et tentait d'arracher ses liens avec agacement. J'ai voulu l'aider ! Ils sont tous témoins, là-bas ! Il tira de nouveau en arrière pour désigner la foule qui s'était dissipée sans comprendre l'issu de ce pugilat. Je vous jure : J'ai enterré cette vie-là ! Je suis devenu quelqu'un d'honnête ! Sa voix était emprunte d'une panique qui s'affolait de plus en plus que le château apparaissait dans l'horizon de la cité.

Prendre en otage, menacer et voler une reine. Osman le savait : Ce genre de crime était punissable de la peine de mort. Et sa gorge était bien trop délicate pour la pendaison, réservée aux bandits de son acabit.

Je suis mille fois désolé ! Mais, soyez clémente, votre Majesté ! Je souhaite m'en repentir ! Je n'avais pas le choix ! J'avais des frères et des sœurs à nourrir ! Ma mère était malade et les médecins étaient trop chers pour nous !

Osman était prêt à supplier cette garce, pourvu qu'il s'en sorte. Ou peut-être tenter de se libérer un peu plus des mains de ses futurs geôliers. Mais elles semblaient si puissantes qu'elles auraient pu lui briser les os avec une facilité terrifiante. Pour le moment, ses yeux ne voyaient aucune issue que ces grandes portes de bois qui annonçaient le début d'un calvaire qu'il ne voulait plus revivre. Alors, mettre sa fierté de côté et tenter l’apitoiement était une solution viable dans son esprit embrumé de colère et de terreur.
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